Comme le disait si bien le poète, ce qu’il y a de mieux dans la vie c’est « écraser ses ennemis, les voir mourir devant soi et entendre les lamentations de leurs femmes ».
Et c’est sur programme guilleret que le studio polonais de Vile Monarch a basé son jeu.
Crush Your Enemies est un jeu de stratégie qui ne s’embarrasse pas de fioritures et se concentre sur l’essentiel: anéantir l’armée ennemie.
La direction artistique est faite de pixels grossiers mais animés de façon amusante. Le jeu peut se contrôler d’un seul bouton de la souris.Le jeu est très simple d’accès. Le tout se joue sur un terrain en damier. Il suffit de laisser ses unités quelques secondes sur une case ennemie pour la capturer. Il est possible de séparer ses unités en petits groupes. Capturer une hutte permettra de faire grossir le nombre de ses unités. Certaines huttes transforment les barbares en guerriers, plus forts. Et il est possible de capturer des tours armées d’arbalètes permettant de tenir les ennemis à distance.
Chaque niveau comporte 3 objectifs (finir en conservant un certain nombre d’unités, finir en un temps donné…), rapportant autant de cranes. Par la suite les niveaux demandant un certains nombres de cranes pour pouvoir être joués, nous obligeant parfois à refaire les niveaux précédents pour obtenir les précieux cranes.Crush Your Enemies, comme son nom l’indique, est bourré d’humour de barbares.
J’avais pu le tester un petit peu sur tablette sur le stand Gambitious/Devolver à l’E3 et ce format lui convient particulièrement bien.
Crush Your Enemies condense le meilleur des jeux de stratégie en temps en réel en petites parties ne dépassant généralement pas 3 minutes.
A noter l’excellent traduction française (si l’on apprécie un langage parfois …euh ..fleuri) .Crush Your Enemies est disponible sur PC, Mac, Linux, iOS et Android.
Test basé sur une version PC fournie par l’éditeur.
[…] des remorques ou des caravanes.On pouvait boire une bière tout en essayant des jeux sur tablette (Crush Your Ennemies) ou sur des bornes comme Zombie Night Terror, ou Enter the […]