En bon masochiste j’ai essayĂ© Ă Cologne la premiĂšre dĂ©mo jouable du toujours punitif Dark Souls 3.
Dark Souls 3 est le premier Ă©pisode de la sĂ©rie des Souls conçu dĂšs l’origine pour les consoles Next-Gen (contrairement Ă Scholar of the First Sin, qui est un portage next-gen de Dark Souls 2) et tire partie de l’expĂ©rience du dĂ©veloppeur (From Software) sur PS4 avec l’excellent Bloodborne.
En toute logique, les graphismes sont plus fins et les animations nettement plus fluides (c’Ă©tait loin d’ĂȘtre le point fort de la sĂ©rie).
Il s’agit toujours de se frayer un chemin au milieu de moult morts-vivants et monstres dans le plus europĂ©en des univers heroĂŻc-fantasy japonais.
Les environnements de la dĂ©mo rappellent l’esthĂ©tique de Dark Souls, nous sommes sans conteste en terrain connu: chĂąteau mĂ©diĂ©val dĂ©labrĂ©, morts-vivant en armures, gargouilles, cadavres jonchant le sol …
Le jeu est indĂ©niablement plus rapide (sans ĂȘtre aussi vif que Bloodborne ) et,  joie, on retrouve les boucliers (qui m’ont cruellement fait dĂ©faut sur Bloodborne). Les mouvements et attaques sont plus variĂ©s.
DĂšs les premiĂšres minutes de jeu, une flĂšche dans le dos envoyĂ©e par un ennemi traitreusement cachĂ© nous rappelle quâil ne sâagit pas dâune promenade de santĂ©.
Peu aprĂšs un ennemi équipĂ© d’une lourde hallebarde ainsi qu’un chien zombi nous barrent le chemin. Premier Ă©chec pour le joueur rouillĂ© que j’Ă©tais alors et retour au sempiternel feu de camp, point de sauvegarde si connu des joueurs des Souls.
Plus loin on pouvait affronter un boss gigantesque. j’avoue ne pas ĂȘtre arrivĂ© Ă ce point car (insĂ©rer une excuse crĂ©dible avant mise en ligne de l’article, genre intervention de ninjas qui m’ont pris mon pad, un truc sĂ©rieux quoi) , heureusement mon voisin plus douĂ©Â chanceux m’a permis de prendre cette photo.
Le jeu est prĂ©vu pour 2016 et je piaffe dĂ©jĂ dâimpatience.