Si vous avez jamais rĂȘvĂ©Â de diriger une foule de grecs pixelisĂ©s en colĂšre en pleine AntiquitĂ©, le jeu des argentins de Coffee Powered Machine est fait pour vous.
HomĂšre nous narre l’histoire de cette foule qui en veut aux dieux oppresseurs et Ă©goĂŻstes et va devoir affronter toutes sortes de crĂ©atures : cyclopes, gĂ©ants, satyres, …
Il y a plusieurs types de membres dans votre attroupement: des soldats (aux allures des spartiates de 300) aux philosophes, en passant par les citoyens , esclaves ou personnages spĂ©ciaux. Les philosophes reprĂ©sentent vos vies car Ă la mort de votre personnage, vous incarnerez le philosophe suivant de votre Ă©quipe. La partie est perdue lorsqu’il ne reste plus de philosophe.Le contrĂŽle de votre philosophe se fait au clavier avec zqsd  en mĂȘme temps que vous dirigez votre rassemblement avec la souris. C’est un peu difficile au dĂ©but, mais on s’y fait vite. En fait ça rappelle un peu Pikmin.
Votre foule va raser les bĂątiments et les murs, recruter de nouveaux membres, ou affronter les ennemis dĂ©s qu’ils entreront en contact.
Chaque niveau est une ville rĂ©elle ou mythique de l’AntiquitĂ© (Delphes, Atlantide, ..). il vous faudra tout d’abord rassembler une foule suffisamment grande puis nettoyer les niveaux des nombreux monstres localisĂ©s sur la mini-map. Chaque ville dispose aussi de magasins pour upgrader ses personnages ou recruter de nouveaux hĂ©ros confĂ©rant des bonus (dâattaque, dĂ©fense, vitesse, …)
A la fin de chaque niveau il faudra affronter un boss qui se trouve ĂȘtre une divinitĂ© grecque, telle que: Apollon, PosĂ©idon, Ares, …Okhlos est un rogue-like: chaque mort est dĂ©finitive et il vous faudra recommander. NĂ©anmoins vous aurez dĂ©bloquĂ© de nouveaux personnages au cours de vos tentatives.Okhlos est chaotique et foutraque Ă souhait. On peut lui reprocher une certaine rĂ©pĂ©titivitĂ© mais pour le prix modique vous aurez droit Ă un jeu original et bourrĂ© d’humour.
Okhlos est disponible sur PC/Mac/Linux
test rĂ©alisĂ© Ă partir d’une version PC fournie par l’Ă©diteur.