il Ă©tait prĂšs de minuit Ă la soirĂ©e d’inauguration de la Paris Games Week, le public commençait Ă se rarĂ©fier, quand soudain j’eu la tentation d’enfin essayer le sulfureux Call of Duty: Ghosts sur Xbox One.
En effet c’Ă©tait l’un des jeux les plus couru du salon, qu’importe qu’il sortait la semaine suivante, les fans Ă©taient prĂȘts Ă braver des heures d’attente pour un petit match en multi sur le nouveau Call of Duty.
En fait je fis parti de la derniĂšre fournĂ©e Ă rentrer ce soir lĂ . J’ai eu la chance de participer Ă 2 matchs en multi d’affilĂ©e (il manquait une personne pour le dernier match, je me suis dĂ©vouĂ©)
Je retrouvais vite mes marques des prĂ©cĂ©dents Ă©pisodes et ce gameplay vif et nerveux qui fait le succĂšs de la sĂ©rie. Point de rĂ©alisme ici, c’est le frag qui compte.
Graphiquement le jeu semblait nettement plus fin que les prĂ©cĂ©dents et toujours Ă 60 FPS.  (et non je n’ai pas rĂ©alisĂ© qu’il s’agissait de 720p upscalĂ© en full HD)
On a beau dĂ©crier la partie solo trop courte, souvent clichĂ© et trop scriptĂ©e, son public pas toujours trĂšs fin (comme l’a encore prouvĂ© le concours d’Activision Ă la Paris Games Week), le multi de cette sĂ©rie reste un des jeu les plus addictif qu’il soit, mĂȘme si il est Ă rĂ©server Ă un public mature.